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1.
Revue d'Epidemiologie et de Sante Publique ; 71:1, 2023.
Article in French | CAB Abstracts | ID: covidwho-2295006

ABSTRACT

State of the matterDue to the COVID-19 pandemic, and the resulting bottlenecks in the French healthcare system, the management of patients with COVID-19 has been prioritized over that of patients with other pathologies, in particular chronic diseases. The objective of this study was to investigate the impact of COVID-19 on the discovery stage of cancers diagnosed in an organized breast cancer screening program, as well as the impact on the time to supported. Material and methodsAll women aged 50 to 74 for whom cancer has been diagnosed in Cote d'Or as part of the national organized breast cancer screening program (first or second reading) from January 1, 2019 to December 31, 2020 have were included in this study. Using data from pathological anatomy laboratories, clinical centers, and the breast and gynecological cancer registry in Cote d'Or, France, we collected sociodemographic, clinical, and treatment data from all patients. We compared data from the year 2019 (pre-COVID) with that of the year 2020 (COVID). ResultsIn this study, we did not observe any change in the stage of discovery of the cancer at the time of diagnosis, nor any change in the therapeutic strategy. However, we observed a significant increase in infiltrated tumors, a decrease in in situ tumors, and the finding of larger clinical size of in situ tumors after the COVID pandemic. ConclusionWhile these results are reassuring, continued monitoring is needed to determine post-pandemic effects.

2.
Revue d'epidemiologie et de sante publique ; 71(1):101575-101575, 2023.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2259048

ABSTRACT

État de la question En raison de la pandémie de COVID-19, et de l'engorgement du système de santé français qui en a résulté, la prise en charge des patients atteints de la COVID-19 a été privilégiée par rapport à celle des patients atteints d'autres pathologies, notamment de maladies chroniques. L'objectif de cette étude était d'étudier l'impact de la COVID-19 sur le stade de découverte des cancers diagnostiqués dans le cadre d'un programme de dépistage organisé du cancer du sein, ainsi que l'impact sur le délai de prise en charge. Matériel et méthodes Toutes les femmes âgées de 50 à 74 ans pour lesquelles un cancer a été diagnostiqué en Côte d'Or dans le cadre du programme national de dépistage organisé du cancer du sein (première ou deuxième lecture) du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2020 ont été incluses dans cette étude. À partir des données des laboratoires d'anatomie pathologique, des centres cliniques et du registre des cancers du sein et gynécologiques de la Côte d'Or, en France, nous avons recueilli les données sociodémographiques, cliniques et de traitement de tous les patients. Nous avons comparé les données de l'année 2019 (avant COVID) avec celles de l'année 2020 (COVID). Résultats Dans cette étude, nous n'avons pas observé de changement dans le stade de découverte du cancer au moment du diagnostic, ni de changement dans la stratégie thérapeutique. Cependant, nous avons observé une augmentation significative des tumeurs infiltrées, une diminution des tumeurs in situ, et la découverte d'une plus grande taille clinique des tumeurs in situ après la pandémie de COVID. Conclusion Bien que ces résultats soient rassurants, une surveillance continue est nécessaire pour déterminer les effets postpandémie.

3.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S111-S112, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1867566

ABSTRACT

Introduction Le Centre Fédératif Prévention Dépistage (CFPD) mène des actions de prévention et de dépistage des maladies infectieuses sur site ou hors les murs auprès des publics précaires depuis 2006. Il est aussi missionné pour répondre aux alertes d'épidémies, auprès des personnes vivant en collectivités, s'intensifiant depuis 2016. Ce travail se fait en partenariat avec le secteur social et s'est ajusté au regard de l'épidémie de Covid. L'objectif de cette étude est de réaliser une synthèse du partenariat ayant participé à la réponse à l'épidémie de Covid auprès des personnes vivant en bidonvilles. Matériels et méthodes Les données sont extraites des tableurs de recueil de dépistage Covid, du logiciel institutionnel pour la vaccination Covid et des bilans des interventions réalisées de mars 2020 à décembre 2021. Résultats La métropole accueille plus de 2000 personnes vivant en bidonvilles, réparties sur plus de 50 terrains. Dès le mois de mars 2020, le CFPD organise une permanence médicale de gestion d'alerte pour les cas covid touchant les populations précaires vivant en squat ou bidonvilles ; une équipe paramédicale et logistique est mise en place rapidement via un financement ARS, pour assurer les dépistages collectifs, contact-tracing et actions de prévention auprès de ce public. Les associations de médiation sociale et de santé renforcent également leurs effectifs par un financement ARS permettant de mener les interventions en binômes. Entre mars 2020 et décembre 2021, 296 signalements PCR + concernant les personnes vivant en bidonvilles ont été traités ; 159 (53,7 %) personnes ont été hospitalisées dont 12 (7,5 %) initialement en réanimation. De même, 538 séances de dépistages collectifs ont été réalisées en partenariat, donnant lieu à 1474 PCR dont 58 positives (4 %), 290 maraudes ont été effectuées, et 108 passages de prévention autour d'un cas. A partir de 01/21, 4 séances de vaccination ont été réalisées auprès de 2 terrains, 31 personnes ont été vaccinées dont 12 avec 2 doses. Des informations et des orientations vers des dispositifs adaptés ont été effectuées. Les difficultés d'accès aux droits santé, la fracture numérique, la méconnaissance, les craintes et le manque de confiance dans le système de santé sont les principaux freins constatés. Conclusion La structuration de l'équipe CFPD depuis plus de 15 ans et les expériences passées de gestion d'épidémies en collaboration avec les associations de médiation ont facilité la mise en oeuvre rapide de mesures de prévention auprès des habitants vivant en bidonvilles. Le soutien de l'ARS par le financement dédié et ciblé d'un renfort aux équipes existantes a permis de maintenir ces actions de prévention au cours de l'épidémie tout en adaptant les modalités d'intervention au contexte. Ainsi, les différents acteurs ont acquis une meilleure connaissance des personnes, de leurs lieux de vie, permettant une meilleure orientation vers des dispositifs adaptés. La pérennisation de ce dispositif permettra de maintenir un lien avec les populations précaires et une veille épidémique, en proposant des actions de prévention globale avec un regard croisé sanitaire et social. Aucun lien d'intérêt

4.
ESMO Open ; 6(3): 100134, 2021 06.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1188563

ABSTRACT

BACKGROUND: The impact of the first coronavirus disease 2019 (COVID-19) wave on cancer patient management was measured within the nationwide network of the Unicancer comprehensive cancer centers in France. PATIENTS AND METHODS: The number of patients diagnosed and treated within 17 of the 18 Unicancer centers was collected in 2020 and compared with that during the same periods between 2016 and 2019. Unicancer centers treat close to 20% of cancer patients in France yearly. The reduction in the number of patients attending the Unicancer centers was analyzed per regions and cancer types. The impact of delayed care on cancer-related deaths was calculated based on different hypotheses. RESULTS: A 6.8% decrease in patients managed within Unicancer in the first 7 months of 2020 versus 2019 was observed. This reduction reached 21% during April and May, and was not compensated in June and July, nor later until November 2020. This reduction was observed only for newly diagnosed patients, while the clinical activity for previously diagnosed patients increased by 4% similar to previous years. The reduction was more pronounced in women, in breast and prostate cancers, and for patients without metastasis. Using an estimated hazard ratio of 1.06 per month of delay in diagnosis and treatment of new patients, we calculated that the delays observed in the 5-month period from March to July 2020 may result in an excess mortality due to cancer of 1000-6000 patients in coming years. CONCLUSIONS: In this study, the delays in cancer patient management were observed only for newly diagnosed patients, more frequently in women, for breast cancer, prostate cancer, and nonmetastatic cancers. These delays may result is an excess risk of cancer-related deaths in the coming years.


Subject(s)
COVID-19 , Neoplasms/complications , COVID-19/complications , Female , France , Humans , Male , SARS-CoV-2
5.
Gynecol Obstet Fertil Senol ; 48(5): 444-447, 2020 05.
Article in French | MEDLINE | ID: covidwho-832614

ABSTRACT

INTRODUCTION: Recommendations for the management of patients with gynecological cancer during the COVID-19 pandemic period. MATERIAL AND METHOD: Recommendations based on the consensus conference model. RESULTS: In the case of a COVID-19 positive patient, surgical management should be postponed for at least 15 days. For cervical cancer, the place of surgery must be re-evaluated in relation to radiotherapy and Radio-Chemotherapy-Concomitant and the value of lymph node staging surgeries must be reviewed on a case-by-case basis. For advanced ovarian cancers, neo-adjuvant chemotherapy should be favored even if primary cytoreduction surgery could be envisaged. It is lawful not to offer hyperthermic intraperitoneal chemotherapy during a COVID-19 pandemic. In the case of patients who must undergo interval surgery, it is possible to continue the chemotherapy and to offer surgery after 6 cycles of chemotherapy. For early stage endometrial cancer, in case of low and intermediate preoperative ESMO risk, hysterectomy with bilateral annexectomy associated with a sentinel lymph node procedure should be favored. It is possible to consider postponing surgery for 1 to 2 months in low-risk endometrial cancers (FIGO Ia stage on MRI and grade 1-2 endometrioid cancer on endometrial biopsy). For high ESMO risk, it ispossible to favor the MSKCC algorithm (combining PET-CT and sentinel lymph node biopsy) in order to omit pelvic and lumbar-aortic lymphadenectomies. CONCLUSION: During COVID-19 pandemic, patients suffering from cancer should not lose life chance, while limiting the risks associated with the virus.


Subject(s)
Betacoronavirus , Coronavirus Infections/complications , Genital Neoplasms, Female/surgery , Gynecologic Surgical Procedures , Pneumonia, Viral/complications , COVID-19 , Coronavirus Infections/transmission , Cytoreduction Surgical Procedures , Female , France , Genital Neoplasms, Female/complications , Gynecologic Surgical Procedures/adverse effects , Humans , Minimally Invasive Surgical Procedures , Pandemics , Pneumonia, Viral/transmission , Practice Guidelines as Topic , SARS-CoV-2 , Societies, Medical
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